Intervention 003
mars 28, 2011 § Poster un commentaire
People call her a lie
mars 15, 2011 § Poster un commentaire
Dans le cadre de l’exposition « 2 » ayant eu lieu à Bruxelles le 26 Février, j’ai glissé dans les poches du public et des artistes présents un texte.
A l’inverse du pickpocket je leur ai donné un texte, au lieu de leur voler quelque chose. Ils découvriront le texte plus tard dans la soirée ou un autre jour ne sachant pas nécessairement comment il s’est retrouvé là. En questionnant des rapports d’intimité (au niveau du contenu du texte et de sa monstration), je souhaitais remettre en cause le moment de perception de ma pièce et être dans un contexte différent que celui d’une pièce vue dans le cadre d’une exposition.
Le texte distribué était celui-ci :
Très souvent elle parle du bord du sommeil.
Cet instant où elle lui devient vulnérable.
Il la regarde et se souvient du goût de son vagin dans sa bouche.
Il est le premier à douter.
S’ouvrir au bouleversement de l’autre ne va pas de soi.
Mais sa peau contre sa peau l’ont convaincu.
Les bords du monde s’écroulent,
Et tout continue.
Elle refuse de douter.
Elle a déja assisté à ses faiblesses.
Le moment où ses mots l’ont trahit.
Ils le trahissent encore.
Peut être aimerait-elle revoir le monde d’avant cette menace.
La menace de ce corps qu’elle a désiré
et que très certainement elle désire encore.
Au loin il entend encore ses gémissements.
Le son s’arrète.
Il se pourrait…
Puis vient le vertige
jusqu’au plein noir.
Gijs Milius
mars 15, 2011 § Poster un commentaire
Intervention 002
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Intervention 001
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Point de Crise 001 (Chili)
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